qu’ils ont gagné et dont ils ont convenu, mais qu’ils ne supportent pas de voir quelqu’un ayant été embauché à la dernière minute obtenir le même salaire qu’eux. Au lieu de se réjouir de la bonne fortune de leurs compagnons de travail, ils les envient avec amertume. Il se peut que les ouvriers de la onzième heure soient moins capables et plus dans le besoin que les hommes ayant travaillé toute la journée, que l’on a probablement embauchés les premiers parce qu’ils comptaient parmi les meilleurs.
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